Indignation face à l'enlèvement de plus de 200 jeunes femmes au Nigéria
Françoise Laborde exprime sa profonde indignation face au sort des 200 jeunes filles enlevées au Nigeria
Françoise Laborde exprime sa profonde indignation face au sort des 200 jeunes filles enlevées au Nigeria
Elle s’associe à la Délégation sénatoriale aux Droits des Femmes et à l’Egalité des chances entre les hommes et les femmes, dont elle est vice-présidente, pour faire part de sa profonde indignation face à l’enlèvement de plus de deux cents jeunes filles par le groupe islamiste Boko Haram dans le Nord-Est du Nigeria, dont on a appris, il y a quelques jours, qu’elles seraient vendues comme esclaves ou mariées de force. Ce drame révoltant illustre la gravité des violences faites aux femmes dénoncées inlassablement par la Délégation aux Droits des femmes du Sénat : viols, mutilations sexuelles, exploitation et marchandisation du corps des femmes, privation de liberté, mariages forcés… Elle soutient la demande faite, hier, au Président du Sénat de déléguer des représentants de la Haute Assemblée, auprès de l’ambassade du Nigeria à Paris, pour faire pression sur les autorités nigérianes. Mme Brigitte GONTHIER MAURIN, Présidente de la Délégation, a demandé, au nom de tous ses collègues, une audience à l’ambassadeur du Nigeria en France. Elle appelle le Gouvernement français à exercer une forte pression sur les autorités nigérianes afin que ces jeunes filles soient libérées et retrouvent leurs foyers.